Diplômée de l'Inalco, universitaire, traductrice littéraire, refondatrice et administratrice d'un site Internet bilingue : www.association-albania.com dédié à la culture albanaise à Paris, Evelyne Noygues est membre du comité d’organisation du salon du livre des Balkans depuis sa fondation. Parmi ses principales traductions de l'albanais en français, on trouve l’album Le sceptre d’Ottocar d’Hergé avec Arben Selimi (Bénart Editions, Paris, sept. 2014) et Terre brûlée de Dashnor Kokonozi (Editions Non Lieu, Paris, octobre 2013). Elle traduit de l'albanais Le Petit Bala de Ridvan Dibra pour le compte du Ver à soie.
Ariadna Tchatchanidzé est actuellement doctorante en troisième année de thèse en histoire de l’art à l’université de Rennes2 sous la direction de Pierre-Henry Frangne. Elle travaille sur « La peinture Symboliste Russe de la fin du XIX siècle (Vroubel, Vasnetsov et Nesterov) : d’un art religieux à une religion de l’art. » Auparavant, après un double-cursus en licences de Lettres Modernes et LLCE Russe, elle a obtenu un Master Recherche en Littérature Comparée. Son mémoire portait sur la figuration du démoniaque et du motif faustien dans le symbolisme russo-européen (en littérature et opéra). Elle a obtenu un Master Recherche en histoire et critique des arts sur « La peinture mythologique de Mikhail Vroubel ». Elle se forme actuellement au Conservatoire de Rennes dans les classes de piano, d’orgue et d’analyse musicale, tout cela dans une démarche et volonté́ d’étudier les liens et correspondances entre les divers arts. Elle participe à la traduction du russe en français de Où j'étais pendant les quinze dernières années. Je criais de Dmitri Strotsev pour le compte du Ver à soie.
Formée à l'université de Saint-Pétersbourg ainsi qu'à l'INALCO, Svetlana Trofimova est traductrice et interprète free lance. Elle traduit aussi bien de la littérature que des textes plus techniques. Elle traduit également du russe vers le français pour les demandeurs d'asile ou les défenseurs des droits de l'homme lors d'entretiens, conférences de presse et rencontres au ministère des Affaires étrangères ou au Sénat pour Amnesty International. Elle a contribué à traduire des extraits de La Belarus' renversée publiés dans le recueil Où j'étais pendant les quinze dernières années. Je criais de Dmitri Strotsev pour le compte du Ver à soie.